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L ou sé l'après soupade, Gran fantésie me pren, D'ana souna l'aubade La oun moun còo l'agrade,
Ou : Per ma poulide aymade
Autour de sa mayson. (bis)
La bère ey adroumide, Nou l'enten pas jouga. Mes sa pastouroulete, Goalharde é friscoutéte Que'n la ba desbelha. (bis)
Desbelha't be, la bère, La bère qui droumits. Escoutat las aubades Qui per bous soun jougades
A l'entour de l'oustau. (bis)
Nou'm hèy pas cas d'aubades Ni deu qui hé jouga. Que sèrt de préne péne, De courbà's au séréne D'ayma chens est' aymat ? (bis)
Aute bersiou
La Bèlo n'ey adroumido, Nou n'enten pas lou sou Lou sou de las aubados Per éro soun sounados
L'entour de sa maysou. (bis)
Si abè papè e encro, Tembiaré dus moûts Mais au clair de la lune, Adieu, charmante brune Bonsoir et puis bonjour. (bis)
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L e soir, après souper, Grande fantaisie me prend, D'aller sonner l'aubade Là où cela plaît à mon coeur,
Ou : Pour ma belle amie
Autour de sa maison.
La belle est endormie, Ne l'entend pas jouer. Mais sa bergerette, Gaillarde et toute fraîche Va la réveiller
Réveillez-vous, la belle, La belle qui dormez. Écoutez les aubades Qui pour vous sont jouées Autour de la maison.
Je me moque des aubades Et de celui qui fait jouer. À quoi sert de prendre peine, De se coucher tard D'aimer sans être aimé.
Autre version
La belle est endormie, Elle n’entend pas le son Le son des aubades Qui sont données pour elle
Autour de sa maison.
Si j’avais du papier et de l’encre Je t’enverrai deux mots Mais au clair de la lune, Adieu, charmante brune
Bonsoir et puis bonjour. (bis)
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